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Titre : | Autoportrait de Van Eyck |
Auteurs : | Élisabeth BÉLORGEY, Auteur |
Editeur : | PARIS, FRANCE : Fayard (Librairie Arthème Fayard), 2000 |
ISBN/ISSN/EAN : | 2-213-60725-7 |
Format : | 271 p. / jaquette ill. en coul. / 22 cm |
Langues: | Français |
Index. décimale : | 823 |
Parce qu'il ne perçoit plus les couleurs, le peintre flamand Van Eyck prend la plume pour restituer par l'écriture le monde enchanté de sa vie en peinture.
Auteur, entre autres chefs-d'oeuvre, du retable de "L'Agneau mystique" (avec son frère Hubert) et du portrait des Arnolfini, il retrace les combats passionnés et intransigeants que l'oeuvre à accomplir et son ambition lui imposent pour devenir le grand peintre qu'il se voulait être et l'homme libre qu'il fut. Il conte son enfance à l'atelier paternel, ses démêlés d'apprenti, la guerre en Hollande, ses missions à la cour du duc Philippe le Bon, ses doutes d'artiste, ses amours.
Héritier de la tradition médiévale, Van Eyck sait la dépasser dans un retournement critique dont "L'Autoportrait" est l'affirmation éclatante : avec détermination, il inscrit le peintre lui-même comme modèle, comme personnage historique à l'égal des seigneurs.
Dans ce premier roman en forme d'autobiographie fictive, Élisabeth Bélorgey dépeint avec brio au sein d'un XVe siècle convulsif, le combat orgueilleux de Van Eyck, qui inaugure avec une audace sensuelle l'humanisme florissant de la Renaissance.
Auteur, entre autres chefs-d'oeuvre, du retable de "L'Agneau mystique" (avec son frère Hubert) et du portrait des Arnolfini, il retrace les combats passionnés et intransigeants que l'oeuvre à accomplir et son ambition lui imposent pour devenir le grand peintre qu'il se voulait être et l'homme libre qu'il fut. Il conte son enfance à l'atelier paternel, ses démêlés d'apprenti, la guerre en Hollande, ses missions à la cour du duc Philippe le Bon, ses doutes d'artiste, ses amours.
Héritier de la tradition médiévale, Van Eyck sait la dépasser dans un retournement critique dont "L'Autoportrait" est l'affirmation éclatante : avec détermination, il inscrit le peintre lui-même comme modèle, comme personnage historique à l'égal des seigneurs.
Dans ce premier roman en forme d'autobiographie fictive, Élisabeth Bélorgey dépeint avec brio au sein d'un XVe siècle convulsif, le combat orgueilleux de Van Eyck, qui inaugure avec une audace sensuelle l'humanisme florissant de la Renaissance.
Exemplaires
Code-barres | Cote | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |